Le Dîner chez les Français de V. Giscard d’Estaing est le troisième épisode de la série théâtrale Huit rois (nos présidents) qui dresse le portrait des huit Présidents de la Cinquième République, de Charles de Gaulle à Emmanuel Macron. Si chaque épisode peut être vu de manière indépendante, l’ensemble constitue une fresque qui raconte, par le portrait de ses « rois républicains » mais aussi par l’histoire d’une famille sur quatre générations, la société française de 1958 à 2027.
Le dîner durera sept ans, de 1974 à 1981, le temps du mandat sur fond de crise économique (consécutive aux deux chocs pétroliers), sociale (apparition du chômage de masse) et de bouleversements sociétaux (autorisation de l’IVG et du divorce par consentement mutuel)…
Les spectateurs assistent au vieillissement des personnages et à leur métamorphose temporaire en chanteurs de variété et de music-hall, de Diane Tell à Gérard Lenorman en passant par Claude François et Sheila.
Comme le mandat du président, le repas commencera très bien et finira très mal !
DISTRIBUTION
Texte Julien Campani et Léo Cohen-Paperman avec la complicité des comédiens et des comédiennes
Mise en scène Léo Cohen-Paperman
Avec Pauline Bolcatto en alternance avec Hélène Rencurel, Julien Campani en alternance avec Grégoire Le Stradic, Philippe Canales en alternance avec Robin Causse, Clovis Fouin en alternance avec Mathieu Metral, Joseph Fourez en alternance avec Pierre Hancisse, Morgane Nairaud en alternance avec Lisa Spurio, Gaia Singer
Scénographie Anne-Sophie Grac
Costumes Manon Naudet
Assistanat scénographie et costumes Ninon Le Chevalier
Lumières Léa Maris
Création sonore Lucas Lelièvre
Régie générale Thomas Mousseau-Fernandez
Régie son Léonard Tusseau
Régie lumière Zélie Carasco
Assistante à la mise en scène Esther Moreira
Maquillage et coiffures Pauline Bry
Administration, production Léonie Lenain
Attachée de production Blanche Rivière
Diffusion Anne-Sophie Boulan
Communication, médiation Lucile Reynaud
Attachée de presse Francesca Magni
PRESSE
« Léo Cohen-Paperman a mis en place une machinerie théâtrale réjouissante qui retrace admirablement les mutations de la société et de ceux qui la composent. […] Dans un jeu où la caricature ne fait pas peur, les comédiennes et comédiens portent brillamment leurs personnages.Parce qu’ils ne cherchent jamais à les imiter, ils en ont fait des personnages de théâtre extraordinaires. »L’OEIL D’OLIVIER
« Après son drôlissime “Chirac” et son très gouteux “Mitterrand”, le metteur en scène (et auteur, avec Julien Campani) Léo Cohen-Paperman s’attaque à Giscard. On se souvient que le monarque républicain à particule aimait descendre de son piédestal pour s’encanailler chez le Français moyen; c’est à ce moment démago qu’on assiste ici »LE CANARD ENCHAÎNÉ