Raconte moi Versailles* - Balade dans le Versailles de 1900

 
Conception et scénario : Léa Germain et Clothilde David
Illustrations : Clothilde David et Bertille David
Avec la participation de la troupe des Potimarrants
 

 

Informations

Ce parcours vous permettra de découvrir des lieux ou anecdotes méconnus sur Versailles. Il prend la forme d’une balade dans les années 1900 grâce à des cartes postales anciennes. Nous remercions les Archives communales de Versailles de nous avoir fourni à titre gracieux les cartes postales indispensables à ce parcours.

Sablier 60% avec un remplissage uniQuelques informations avant de commencer :

Marcher avec un remplissage uniDistance parcourue : 3,6 km environ

Montagnes avec un remplissage uniDifficulté : principalement plat (une légère montée)

Train avec un remplissage uniAccès :

  • Versailles Rive Gauche;
  • Versailles Rive Droite puis bus 1 (Université) ou bus 3 (Satory), descendre à Gare de Versailles Rive Gauche;
  • Versailles Chantiers puis bus 1 (Centre commercial Parly 2) ou bus 2 (La celle-Saint-Cloud) descendre à Versailles Château Rive Gauche;

Personne en fauteuil roulant avec un remplissage uniAccessibilité : l’ensemble de notre parcours se déroule dans les rues de Versailles. Il n’y a aucun escalier à emprunter, mais le passage dans les rues peut être rendu plus difficile par les chaussées étroites et les trottoirs hauts.

Utilisateurs avec un remplissage uniNombre de participants : aucun nombre de participants n’est imposé, le parcours peut être fait par une personne seule cependant il faudra alterner entre un GPS et le déroulé du parcours. Pour les groupes de 2 personnes ou plus nous conseillons de désigner une personne qui s’occupera du GPS et une autre qui aura le déroulé de la balade sur son smartphone. Nous ne fixons pas de nombre maximum de participants, tant que tous peuvent s’amuser.

Ce parcours contient des sliders vous permettant de découvrir les lieux comme ils étaient il y a plus de 100 ans. Il suffit de glisser le slider vers la droite pour révéler la carte postale représentant le même lieu dans les années 1900.

Les règles :

  • Vous vous déplacez à travers les rues de Versailles.
  • Vous aurez besoin de votre smartphone, d’une connexion internet, de batterie et d’une application de géolocalisation (Google Maps, Plan…)

Le parcours prenant place dans l’espace urbain, nous vous invitons à faire attention à la circulation, aux piétons et aux éventuels travaux que vous pourrez rencontrer. Aussi prenante que soit cette promenade, restez prudents !


Balade dans le Versailles de 1900

La carte postale arrive en France en 1870 dans Strasbourg assiégée par l’armée allemande. La carte postale connaît une période florissante entre 1900 et 1904. A cette époque il est interdit d’écrire la correspondance du même côté que l’adresse. C’est pour cela que l’on peut trouver des cartes postales avec des écritures du côté photographie. La carte postale étant une photographie, elle est un témoin précis du passé et nous permet de retourner 100 ans en arrière.


Gare de Versailles Château Rive Gauche

Le 10 septembre 1840, la gare de Versailles-Rive-Gauche s’ouvre, dans le quartier Saint-Louis, lors de l’inauguration de la ligne de Paris à Versailles par la rive gauche de la Seine. Achille Fould finance le projet et Camille Polonceau se charge de son exploitation. Le train partait à l’origine de l’embarcadère de la barrière du Maine, mis en service le 10 septembre 1840 également, situé sur la commune de Vaugirard (qui sera intégrée dans le 15ème arrondissement de Paris en 1860). En 1844, le trajet direct Paris-Versailles durait 20min, il y avait un train toutes les heures entre 8h et 22h. Finalement, l’embarcadère, considéré comme trop excentré et est remplacé en 1852 par une gare située près du boulevard Montparnasse.

La gare de Versailles Rive Gauche est reconstruite au moment où la ville accueille le gouvernement et la Chambre des députés, de 1871 à 1879.

Aujourd’hui, la Gare de Versailles Château Rive Gauche a gardé la même architecture et relie encore Versailles à Paris. Elle voit passer en ses murs près de 7,9 millions de voyageur par an.

   

Maintenant, retournez-vous et regardez cet endroit en travaux, il y a une centaine d’années il était bien différent…


Square et Kiosque Barascud

Sur ce square aujourd’hui en travaux, se trouvait avant le Kiosque Barascud.

Pierre Charles Barascud, rentier né à Paris en 1795, lègue 30 000 francs à la Ville de Versailles le 8 juillet 1852, dans le but de construire une salle d’accueil de concerts militaires. Les travaux s’étalent du 1er juin 1868 à janvier 1869. Le coût final s’élève à 41 200 francs.
Les galeries ouvertes du kiosque permettent la venue de publics, tandis que la partie centre est, elle, réservée aux musiciens. La forme du kiosque, elliptique, a été choisie pour ses propriétés acoustiques. Seulement, les Versaillais, comme les chefs de musique du régiment d’artillerie, se rendent rapidement compte que le kiosque, censé protéger les musiciens et le public du froid, n’abrite que très peu. En outre, les nuisances sonores se font légion. Cet édifice, inutilisé et vétuste, est détruit en 1930.

De nos jours, on y trouve la gare routière de Versailles Rive Gauche.

         

> Continuez tout droit votre chemin, au 3 rue royale <


Caserne du 27ème dragon

Le 27ème régiment de dragons est une unité de cavalerie de l’armée française créée le 23 septembre 1803 sous le Premier Empire. Cette unité est issue du 18e Régiment de Cavalerie, lui-même héritier du régiment de Broglie cavalerie créé le 1er mars 1674 par le Comte de Broglie, sous le règne de Louis XIV pour faire face aux besoins de la guerre de Hollande (1674-1678). Le 12 mai 1814, le régiment est licencié par ordonnance royale. En 1887, le 27e régiment de dragons est reconstitué. Il prend garnison au quartier Dupleix à Paris de 1889 à 1893 puis dans le quartier de Croy, au 3 rue royale à Versailles jusqu’en aout 1914. Le régiment, sous le commandement du Colonel Millard quitte sa caserne le 1er août 1914. Quatre trains emmènent le régiment vers la frontière belge. Il est dissous en 1919. L’association des anciens dite La marjolaine est alors créée, elle existe toujours et maintient le devoir de mémoire.

    

Prenez la rue qui fait face à la grande porte de l’ancien régiment et rendez-vous au 3 rue de l’indépendance américaine


École d'Artillerie et du Génie

L’école militaire de l’artillerie, du génie et du train de Versailles est créée en 1884 au 3 rue Gambetta, actuellement 3 rue de l’indépendance américaine. Le but de cette école est de donner une formation complémentaire et nécessaire aux sous-officiers afin qu’ils deviennent officiers. Pendant la guerre, l’école forme de nombreux officiers pour alimenter l’armée, car les pertes en officiers sur le front atteignirent l’équivalent de 20 promotions annuelles d’officiers. Après la guerre, l’école devient la maison-mère du Génie et est renommée Ecole militaire et d’application du Génie en octobre 1925. Elle se compose de :

  • L’école militaire, école de formation sur 1 an pour les élèves-officiers ;
  • L’école d’application, école de perfectionnement pour les officiers, sur 2 ans ;

Finalement, avec la réputation grandissante de l’école, plus personne ne pouvait devenir officier d’active, de réserve ou d’administration sans être passé par l’École militaire et d’application du Génie.

Le bâtiment abrite actuellement la Direction centrale du Service d’infrastructure de la Défense de l’armée française.

       

Rendez-vous juste au-dessus, au 1 rue de l’indépendance.


Hôpital militaire Dominique Larrey

Nous trouvions dans ce bâtiment, construit entre 1682 et 1684 par Jules Hardouin-Mansart, les cuisines et tables des officiers servant à la cour du château de Versailles, ainsi que les chambres des courtisans. D’abord manufacture d’armes pendant la Révolution, le Grand Commun abrite par la suite, dès 1843, un hôpital militaire, baptisé « hôpital militaire Dominique Larrey », du nom du chirurgien en chef de la Grande Armée. Cet hôpital ferme en 1995 et l’administration du château redevint propriétaire du Grand Commun en 1996.

Les vestiges du jeu de paume de Louis XIII ainsi que les vestiges de l’enceinte du château furent retrouvés entre 2006 et 2007, durant des fouilles faites par une équipe de l’institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP).

Les services administratifs du Château et du centre de recherche du château de Versailles y sont présents depuis 2016.

Le Grand commun est classé au titre des monuments historiques depuis le 16 septembre 1929.

    

A présent, allez en direction du château puis dirigez-vous vers la Place Hoche.


Place Hoche

La place Hoche, anciennement place Dauphine, est située au croisement de la rue Carnot et de la rue Hoche. Le 5 aout 1832, la place est rebaptisée place Hoche et une statue en marbre y est installée. Quatre ans plus tard elle est remplacée par une statue en bronze réalisée par le sculpteur Henri Lemaire et la Fonderie Gonon.

Cette statue, que l’on trouve encore aujourd’hui, est un hommage au Général Louis Lazare Hoche né en 1768 à Montreuil. D’abord aide-palefrenier aux écuries royales, Hoche s’engage comme soldat à 16 ans. Le 25 décembre 1793, Lazare Hoche devient général à 25 ans. Incarcéré en mars 1794 pendant la Terreur, il est finalement libéré en août de la même année. Il meurt le 19 septembre 1797 de la tuberculose, après avoir repoussé les Autrichiens pour la seconde fois.

    

On peut voir, au bout de la rue Hoche l’Eglise Notre-Dame. Elle est construite par l’architecte Jules Hardouin-Mansart, à la demande du roi Louis XIV. La première pierre est posée le 10 mars 1684 par le roi en personne.


Caserne du 20ème escadron du Train des équipages

Le train est l’élément de l’Armée française qui coordonne et organise la logistique, le transport (matériel, munitions, ravitaillement) et l’appui au mouvement (notamment la circulation routière) de l’Armée de Terre. Le 20ème escadron du train des équipages fut créé par la loi du 13 mars 1875 qui fixe la composition des cadres et des effectifs de l’ensemble de l’armée. La caserne du 20ème escadron du train des équipages s’installe à Versailles le 21 avril 1875, dans les anciennes Ecuries de la Reine, au 5 rue Carnot. L’escadron a pris part à la conquête de la Tunisie par la France en 1881 qui aboutit au Traité de Bardo et au Protectorat français de Tunisie.

Le bâtiment est aujourd’hui occupé par la Cour d’appel de Versailles, créée en 1975 par scission de la cour d’appel de Paris. En 1978, les écuries sont classées monument historique.

    


Hôtel des réservoirs

L’hôtel des réservoirs tient son nom des réservoirs du parc de Versailles situés contre le mur de gauche lorsque l’on regarde le bâtiment. Depuis le 6 mars 1936, l’hôtel est classé au titre des monuments historiques.

Tout commence en 1751, lorsque l’architecte Jean Cailleteau construit pour Madame de Pompadour un hôtel relié au château par un couloir couvert.

En 1875, il est transformé en un hôtel de prestige, le « Grand Hôtel des Réservoirs». Il accueille alors de grandes personnalités comme le Prince de Galle (et futur roi Edouard VII) ou Emile Zola. Marcel Proust y fait un séjour reclus en 1906, séjour qui participe à la genèse de son roman A la recherche du temps perdu.

C’est dans l’Hôtel des réservoirs que résident à partir d’avril 1919 les délégués allemands qui signeront le 28 juin 1919 un traité de paix avec les Alliés, le Traité de Versailles. Les plénipotentiaires allemands ne se voient pas comme des prisonniers, en effet ils ont dans leurs valises des crosses de golf et souhaitent se promener librement dans le parc de Versailles.

En 1920 y a lieu le bal annuel de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. Charles de Gaulle y convie Yvonne Vendroux qui deviendra sa femme le 21 avril 1921.

L’Etat le rachète en 1934, il accueille le service départemental de l’architecture et du patrimoine (SDAP) des Yvelines et des logements de fonction. Depuis 2006, l’hôtel des Réservoirs accueille l’École européenne d’intelligence économique (EEIE).

    

L’intérieur de l’Hôtel des réservoirs lorsqu’il était encore un hôtel :

    

Continuez en direction de la rue Neuve-Notre-Dame et empruntez cette rue jusqu’à croiser la rue du Maréchal Foch. Derrière les boutiques en face de vous, se trouve l’Espace Richaud.


Hôpital Civil

Ces deux photographies ont été prises depuis la rue Richaud mais nous vous invitons à faire le tour du bâtiment pour l’admirer ou bien même à entrer dans les jardins si cela est possible.

Celui que nous connaissons aujourd’hui comme l’Espace Richaud, a connu différents visages. Dès 1636, Louis XIII décide d’en faire une « maison de charité, infirmerie pour les pauvres du village ». Le nombre de blessés et de malades grandit jusqu’en 1960. Durant ces nombreuses décennies, des extensions et agrandissements sont ordonnés, par Louis XIV notamment en 1699. Le 5 juin 1720, Louis XIV fait de cette « maison de charité » un hôpital royal, statut ordonné par lettre patente. Resté un hôpital jusqu’en 1981, il alors voit ses activités transférées vers l’hôpital Mignot. Le lieu rencontre de longues années d’abandon. En 2009, une société rachète l’hôpital royal de Versailles à l’Etat, afin d’en faire des logements, des commerces et des jardins. Ces derniers sont ouverts au public durant la journée. La chapelle de l’hôpital, qui fut rénovée, est devenue l’Espace Richaud, où prennent place des expositions ou des pièces de théâtre. Si vous souhaitez en apprendre plus sur l’Espace Richaud et ses activités, nous vous invitons à lire nos articles sur l’Epace Richaud et le métier de responsable de médiation et de communication à l’Espace Richaud

    

Descendez la rue du Maréchal Foch en direction de la place du marché Notre-Dame.


Place du marché Notre-Dame

Au croisement de la rue de la Paroisse et la rue du Maréchal-Foch (anciennement rue Duplessis), se trouve La place du marché Notre-Dame. Louis XIII désigne cet emplacement comme celui du marché de Versailles, dès novembre 1634. Ce nouveau marché, succédant sans doute à un marché plus ancien, prend place tous les mardis ; trois foires annuelles s’y déroulent, une en mai, une autre en août et enfin la dernière en octobre.

Le marché Notre-Dame connait un réaménagement en 1725 ; Louis Blouin y construit la halle à la farine. Dans ce marché se trouvent déjà à l’époque, quatre « carrés », des espaces commerciaux alimentaires, chacun dédié à certaines spécialités :

  • Le carré aux veaux et à la volaille
  • Le carré au beurre, à la marée, à l’avoine et aux grains
  • Le carré aux herbes, où l’on peut acheter fruits et légumes
  • Le carré du poids à la farine, originellement appelé le Poids-du-Roi Une salle permettant la vérification des poids et des mesures utilisés par les commerçants se trouvait dans cette halle.

Des violences surviennent de temps à autres comme en 1740 à cause de pénuries de blé. A la révolution, le marché périclite peu à peu. Pendant longtemps la place du marché aura servi de lieu d’exécutions capitales.

La ville achète le marché en 1835, il n’appartient donc plus au domaine royal. En 1841,les anciens pavillons sont détruits et remplacés par les halles couvertes construites par l’architecte Le Poittevin, encore présentes aujourd’hui. Ce nouveau marché couvert est inauguré le 15 septembre 1842.

En 1871, avec l’installation du gouvernement provisoire à Versailles, le marché est l’un des plus actifs de France. De nos jours, le marché Notre-Dame est toujours particulièrement attractif et reste un lieu notable de la vie versaillaise. En février 2018, le marché de Versailles est élu « plus beau marché d’Île-de-France ».

On peut observer sur cette carte postale, en plus de la place du marché, la présence d’un tramway. En effet, il existait un réseau de tramway à Versailles entre 1876 et 1957. Composé de 6 lignes, le réseau desservait le centre ville et des lieux plus excentrés comme Clagny, Porchefontaine ou Le Chesnay.

    

Continuez à descendre la rue du maréchal Foch jusqu’au 23bis avenue de Saint-Cloud.


Brasserie Muller

Jean-Louis Amaury, limonadier à Paris achète en 1758 le bâtiment à l’actuel 23bis avenue de Saint-Cloud et y ouvre un café en 1763, le café Amaury. En 1781, Nicolas succède à son père. En 1789, les députés bretons des Etats Généraux prennent l’habitude de se réunir dans ce café. Rapidement, des représentants d’autres provinces, qui n’étaient pas nécessairement membres du Tiers, les rejoignent : Mirabeau, Barnave, Pétion, Robespierre… Petit à petit, ils abandonnent le comptoir du bar et s’installent dans les salles en entresol, plus discrètes pour parler de politique. La famille Amaury vend le café en 1846, devenant la brasserie Muller représentée sur cette carte postale. La mémoire du Club Breton y est à l’époque très présente, la carte postale ci-dessous fait référence à ces réunions.

    

Dans la salle de la nouvelle brasserie on peut voir, au-dessus de la porte, « Dans cette salle se réunissaient en 1789 les députés du Tiers aux Etats Généraux et à l’Assemblée Nationale. Mirabeau & Robespierre prirent souvent la parole dans ces réunions, première origine du Club des Jacodins ».

En 1961, magasin de meubles prend la place de la brasserie Muller. Aujourd’hui, les locaux sont ceux d’une banque.

Traversez l’avenue de Saint-Cloud pour vous rendre au 26 de l’avenue, situé en face.

 


Grands magasins Dufayel

En 1905, au 26 avenue de Saint-Cloud se trouvait un magasin appelé Les Grands Magasins Dufayel. C’est une ancienne enseigne, tournée vers les classes populaires, dont le premier magasin est ouvert en 1856 boulevard Barbès à Paris par Jacques François Crespin sous le nom Palais de la Nouveauté. A son décès en 1888, Georges Dufayel, un de ses employés reprend l’enseigne.

Les grands magasins Dufayel sont spécialisés dans la vente d’articles d’ameublement et d’équipement de la maison. La clientèle des Grands Magasins Dufayel, disposant plutôt de revenus modestes, le magasin est le premier à développer en France le crédit à la consommation moderne. Pour inciter ses clients à effectuer des achats, il propose un crédit après avoir collecté des informations sur ceux-ci auprès des concierges. Un « receveur » passe alors chaque semaine au domicile des emprunteurs pour percevoir le remboursement du crédit. Si le client ne remboursait pas le crédit, le service du contentieux des Grands Magasins Dufayel pouvaient recourir, grâce à la loi du 12 janvier 1895, à une saisie de salaire chez l’employeur dudit client.

L’enseigne est mentionnée dans la chanson La Complainte des places de Paris (1905) de Lucien Boyer et Adolphe Stanislas ainsi que dans Voyage au bout de la nuit (1932), premier roman de Louis-Ferdinand Céline.

    

Vous voilà arrivé à la fin de ce parcours ! Nous espérons qu’il vous a plu. N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à nous contacter pour nous faire des retours.

Si vous pouviez répondre à ce questionnaire à propos de votre expérience durant le parcours, cela nous serait très utile pour notre projet !


Sources

Site de la ville de versailles et archives communales de Versailles

Wikipédia

Jacques Villard, Histoire et Anecdotes en ville, 2002

Historique du 20e escadron du train des équipages militaires pendant la guerre 1914-1918, Imprimerie Berger-Levrault, 1920. gallica.bnf.fr

Historique du 27e Régiment de Dragons pendant la Campagne 1914-1918. Imprimerie Berger-Levrault, 1920.

Robert Normand, Notre grandes écoles – XVIII – L’école du Génie

ALBERT  Anaïs, « Le crédit à la consommation des classes populaires à la Belle Époque. Invention, innovation ou reconfiguration ? » 2012

DAUPHIN  Noëlle, « Versailles, le château et la ville. Deux patrimoines distincts, deux mémoires antagonistes à l’époque contemporaine ? » 2004

https://www.hurgon.fr/cartes_postales/histoire_de_la_carte.htm

Contact

> Formulaire de contact

Tél : 01 39 66 30 00

Versailles, c’est une histoire et un patrimoine qui dépassent les grilles du château !
 

*Raconte-moi Versailles est un projet étudiant, mené en 2022 par Clothilde DAVID, Léa GERMAIN et Cindy YESLI dans le cadre du Master « Évènementiel, médiation des arts et des Sciences » de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Articles et parcours révèlent la richesse insoupçonnée de la ville et dévoilent un autre Versailles.
Avec la participation de la troupe des Potimarrants